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Publié par Michel Castanier

Chronique du rat (43) Une pensée de Norbert Gourdon [blog de la Société des lecteurs de Norbert Gourdon]

Norbert Gourdon, ayant ce jour-là reçu le Grand Prix Zébulon du Languedoc-Roussillon pour son charmant fascicule publié à compte d’auteur, Mes Aléas, rendu à lui-même par la gloire, accueil­le les journalistes internationaux avec trans­port, les yeux brillant comme des cataphotes de chan­tier sous les projecteurs de télévision.

– Rassurez-vous ! Mes tourments – ces pen­sées qui m’ont scandalisé dans les détours du labyrinthe de la création – se mo­dè­rent et se relâchent à la vue de mon sem­bla­ble. J'ai re­nou­velé la question de l'Homme et je l’ai aimé !

Cet artiste qui a ré­ponse à tout, avant de nous quitter pour la Suisse, son gros nœud papillon au cou et son gibus à pois d'Homme de lettres sur la tête, Sybille Pompon à son bras, poursuit son interview dans sa roulotte où il se poste devant la bi­bliothèque, trois doigts po­sés sur un livre ouvert, le sourire aux lèvres et le re­gard pro­fond – ainsi qu’en témoignera une photographie en qua­trième de couverture de son opus ma­jeur : Tomates, Automates et Spectres.

Norbert Gourdon, ayant ce jour-là reçu le Grand Prix Zébulon du Languedoc-Roussillon pour son charmant fascicule publié à compte d’auteur, Mes Aléas, rendu à lui-même par la gloire, accueil­le les journalistes internationaux avec trans­port, les yeux brillant comme des cataphotes de chan­tier sous les projecteurs de télévision.

– Rassurez-vous ! Mes tourments – ces pen­sées qui m’ont scandalisé dans les détours du labyrinthe de la création – se mo­dè­rent et se relâchent à la vue de mon sem­bla­ble. J'ai re­nou­velé la question de l'Homme et je l’ai aimé !

Cet artiste qui a ré­ponse à tout, avant de nous quitter pour la Suisse, son gros nœud papillon au cou et son gibus à pois d'Homme de lettres sur la tête, Sybille Pompon à son bras, poursuit son interview dans sa roulotte où il se poste devant la bi­bliothèque, trois doigts po­sés sur un livre ouvert, le sourire aux lèvres et le re­gard pro­fond – ainsi qu’en témoignera une photographie en qua­trième de couverture de son opus ma­jeur : Tomates, Automates et Spectres.

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