Chronique du rat (43) Une pensée de Norbert Gourdon [blog de la Société des lecteurs de Norbert Gourdon]
Norbert Gourdon, ayant ce jour-là reçu le Grand Prix Zébulon du Languedoc-Roussillon pour son charmant fascicule publié à compte d’auteur, Mes Aléas, rendu à lui-même par la gloire, accueille les journalistes internationaux avec transport, les yeux brillant comme des cataphotes de chantier sous les projecteurs de télévision.
– Rassurez-vous ! Mes tourments – ces pensées qui m’ont scandalisé dans les détours du labyrinthe de la création – se modèrent et se relâchent à la vue de mon semblable. J'ai renouvelé la question de l'Homme et je l’ai aimé !
Cet artiste qui a réponse à tout, avant de nous quitter pour la Suisse, son gros nœud papillon au cou et son gibus à pois d'Homme de lettres sur la tête, Sybille Pompon à son bras, poursuit son interview dans sa roulotte où il se poste devant la bibliothèque, trois doigts posés sur un livre ouvert, le sourire aux lèvres et le regard profond – ainsi qu’en témoignera une photographie en quatrième de couverture de son opus majeur : Tomates, Automates et Spectres.
Norbert Gourdon, ayant ce jour-là reçu le Grand Prix Zébulon du Languedoc-Roussillon pour son charmant fascicule publié à compte d’auteur, Mes Aléas, rendu à lui-même par la gloire, accueille les journalistes internationaux avec transport, les yeux brillant comme des cataphotes de chantier sous les projecteurs de télévision.
– Rassurez-vous ! Mes tourments – ces pensées qui m’ont scandalisé dans les détours du labyrinthe de la création – se modèrent et se relâchent à la vue de mon semblable. J'ai renouvelé la question de l'Homme et je l’ai aimé !
Cet artiste qui a réponse à tout, avant de nous quitter pour la Suisse, son gros nœud papillon au cou et son gibus à pois d'Homme de lettres sur la tête, Sybille Pompon à son bras, poursuit son interview dans sa roulotte où il se poste devant la bibliothèque, trois doigts posés sur un livre ouvert, le sourire aux lèvres et le regard profond – ainsi qu’en témoignera une photographie en quatrième de couverture de son opus majeur : Tomates, Automates et Spectres.